CR de mon 4ème Marathon de París, 9 marathons au compteur 🤩. L’épreuve reine de la course à pied est bien plus qu’une compétition, c’est une aventure!
Arrivé un peu à la bourre, j’ai la chance de voir le départ des femmes en remontant vers mon SAS, mais également de ne pas trop attendre et prendre froid 🥶 j’abandonne un vieux pull 🧥. Et Go! 🔫 pour mon 9ème marathon.
L’objectif étant de ne pas partir trop vite et d’accélérer si possible après le cap du semi. Je me cale un peu en dessous de 4:25 et ça déroule parfaitement jusqu’au 27ème km, la sensation d’être en Cruise control. Le temps est parfait je ne transpire presque pas.
Je commence à sentir le haut de mes mollets qui se durcissent juste au moment où évidemment on rendre dans le dur de la course, les 30km et la côte du 34.
Sauf que dans ma tête j’ai pris la petite (pas si petite!)côte juste avant la montagne, pour la montagne 😩. Résultat : je n’avais plus rien pour grimper cette ultime obstacle avant l’arrivée 🏁.
Le début de la fin
J’ai marché 🙈et la tête tournait, ça m’a permis de souffler et d’alléger les crampes , suffisamment pour arriver au 41 où j’ai également marché re 🙈. Pour finir les 1km295 en courant avec une foulée particulière 🤔🤣 les mollets étant durs comme du bois 🪵.
3:17:59 pour une préparation de 6 semaines (au lieu de 10) pour 3:15. C’est pas les 3:06 de Berlin en 2019 mais mieux que les 3:29 de Paris en 2018 🤩 pour un parcours casse jambes sur la dernière partie.
Les 10 derniers km ont été un long calvaire qu’il a fallu faire 💯 au mental mais au final le classement dans ma catégorie est pas dégeu 😛.
That’s all folks
🙏 à @pierremarc_nct pour les photos, @steve.running pour les encouragements, tous les bénévoles qui sont toujours d’une grande gentillesse et les centaines de ALLLEEEZ sur le parcours.
La tenue @compressportfranceétait parfaite, pas testée avant mais aucune gêne, très légère et aérée avec la Free Belt pour ranger le téléphone, les gels @overstims et la flasque.
